Brahim Ghali, chef des mercenaires du groupe polisario, est une ex-taupe des services secrets espagnols sous le numéro d’identification B-7248055…
Congédié, il a été récupéré par les services de renseignement de la junte militaire algérienne. Les officiers algériens avec leurs homologues de l’Est, l’ont formé aux techniques de torture, du viol et d’assassinat.
Il menait des actions contre toute personne opposée à la doctrine des généraux que ce soit en Algérie, dans les camps de Tindouf ou même en Espagne.
Dans les années 80-90, durant la dictature de l’ex-tyran Mouammar Kadhafi, Ghali supervisait l’acheminement du matériel militaire de la Libye vers le sud-est de l’Algérie.
Lors de cette période, Brahim Ghali a effectué un séjour d’une vingtaine de jours dans les camps du Hezbollah affilié à l’Iran, selon des sources locales et régionales.
Après la mort de Mohamed Abdelaziz en 2016, il a été propulsé aux commandes des milices du polisario avec l’appui du général Saïd Chengriha.