Des ONG nordiques des Droits humains focalisent leur attention sur les sahraouis marocains vivant paisiblement au Maroc, alors qu’elles ferment les yeux avec complicité sur la situation de toute une population victime des dérives du polisario dans les camps de Tindouf.
Parmi les violations les plus flagrantes des droits humains perpétrées par le polisario, figurent les mariages forcés des jeunes filles mineures. Des pratiques d’un autre âge auxquelles des filles mineures doivent se plier pour assouvir les instincts maladifs des chefs du mouvement séparatiste.
D’autres violations non moins ignobles sont le lot des femmes dans les camps de Tindouf, notamment la polygamie ou encore la pratique consistant à interchanger les femmes entre les miliciens.
Dix ans après le viol monstrueux dont elle a été victime, la jeune femme Khadijatou Mahmoud, ex-traductrice dans les camps de Tindouf, continue à lutter pour obtenir justice en Espagne contre l’auteur de cet abominable acte qui n’est autre que l’actuel chef du polisario, Brahim Ghali.
Khadijatou Mahmoud a également dénoncé les agressions sexuelles dont sont victimes les femmes sahraouies dans les camps de Tindouf en territoire algérien.
Face à autant d’infamies, des ONG de Norvège et de Suède préfèrent détourner le regard, comme elles feignent d’ignorer que les aides qu’elles envoient aux populations démunies dans les camps de Tindouf, sont en réalité revendues par les chefs du polisario sur les marchés des pays voisins.
Une véritable rapine à laquelle se livrent Brahim Ghali et ses complices du polisario au moment où la population des camps a besoin de tout pour faire face à la pandémie du Coronavirus Covid-19.
Une situation d’autant plus attristante que les camps placés sous le contrôle stalinien du polisario ne disposent ni d’eau courante, ni d’assainissement, sans parler de structures sanitaires pour traiter les malades.