En Somalie, le nouveau code pétrolier qui vient d’être promulgué stipule que les accords relatifs au pétrole qui ont été signés ces 30 dernières années avec des administrations existant dans certaines parties de la Somalie ou avec les gouvernements provisoires entre décembre 1990 et septembre 2012 sont considérés comme nuls et non avenus.
Le texte édicte que seuls les accords actés avant 1990 sont considérés comme des accords valables et bénéficieront de l’attention nécessaire, ajoutant que chaque nouvel accord de partage de la production doit associer la société publique du pétrole (SONOC) qui y détiendra au maximum 20 % des intérêts
Dans les faits, la majorité des accords pétroliers qui couvrent le territoire sont annulés. Ainsi les sociétés impliquées dans les accords signés avant 1990 sont appelées à les renouveler.