Israël: le ministre israélien de la Défense organise un Iftar pour les ambassadeurs arabes

Le ministre israélien de la Défense, Benny Gantz, a organisé lundi un Iftar (repas de rupture du jeûne du ramadan) pour les ambassadeurs des pays arabes.
« Aujourd’hui, j’ai organisé un iftar de célébration avec les ambassadeurs des signataires des Accords d’Abraham. J’ai souhaité à mes amis du Maroc, de Bahreïn, des États-Unis, des Émirats arabes unis et d’Égypte un Ramadan Kareem et j’ai parlé de nos liens formidables, qui contribuent à la paix et à la stabilité régionales », selon un tweet de Gantz.
« J’ai informé les ambassadeurs des événements récents et des tensions en matière de sécurité. Je leur ai dit qu’Israël valorise la liberté de culte et fera tout ce qui est en son pouvoir pour la rendre possible, tout en travaillant contre un groupe extrémiste – la minorité – qui vise à lui nuire », a-t-il ajouté.
En effet, le pouvoir des mollahs en Iran et la junte militaire algérienne parasitent la question palestinienne en essayant d’instrumentaliser les derniers incidents survenus dans la ville sainte de Jérusalem, avec l’espoir d’évincer les pays sages œuvrant pour la paix entre israéliens et palestiniens.
A l’instar du Moyen Orient, le danger émane aujourd’hui de l’Iran et de l’Algérie, qui apportent des aides militaires aux chefs des milices locales et étrangères en Afrique, notamment dans la zone du Sahel. De plus, les Mollahs de Téhéran envoient des instructeurs du hezbollah libanais encadrés par les Gardiens de la révolution iranienne.
Ces derniers ont renforcé également leur présence dans la région frontalière avec le Mali pour contrecarrer et contenir les combattants révolutionnaires qui aspirent à un Etat indépendant dans le sud de l’Algérie.
Le général Saïd Chengriha, pour leurrer l’opinion nationale et internationale, ne manque aucune occasion pour saluer les forces sécuritaires et ne cache pas son antisémitisme envers Israël.
La carte de la ‘’lutte par les Forces de l’Armée Nationale Populaire’’ (ANP) contre le terrorisme, brandie toujours par le général Chengriha, est devenue monnaie courante dans ses interventions médiatiques.
Lors de ses tournées dans les casernes à travers le pays, Chengriha, contrairement aux officiers supérieurs partout dans le monde, consacre ses discours rhétoriques, quasi exclusivement aux questions politiques et sécuritaires, illustrant ainsi l’accaparement par le militaire de la réalité du pouvoir en Algérie.
L’objectif est de donner l’illusion d’un régime tout ce qu’il y a de plus acceptable, et de rendre plus fréquentable un système politique inclassable.