Le pouvoir militaire en Algérie et son organisation terroriste le polisario, sont traumatisés par la décision du Congres américain de renforcer les capacités de défense aériennes du Maroc.
La décision du Congres américain de soutenir les capacités de défense aériennes de plusieurs pays alliés, parmi lesquels le Maroc, contre les menaces iraniennes, illustre l’importance accordée par les Etats-Unis au danger que représentent le régime iranien et ses alliés dans la région.
Ainsi, les Forces Armées Royales du Maroc devraient bénéficier de technologies de dernière génération pour « faire face aux attaques des missiles et drones de l’Iran et ses agents », selon le projet de loi du Congrès américain sur les dotations extérieures.
Un texte qui reflète l’inquiétude de Washington face à l’ampleur de la menace que représente l’Iran dans la région avec le chef général de l’Algérie Saïd Chanegriha et le polisario.
Parmi ces systèmes de défense aérienne, les Etats-Unis d’Amérique prévoient de doter le Maroc des fameux Gap Filler.
D’après des experts militaires, cette aide pourrait être élargie à la livraison des GhostEye-MR de Raytheon, des systèmes de surveillance 360 degrés, dédiés à la traque d’une large gamme de missiles et autres drones iraniens.
Parmi la panoplie de technologies de pointe figure également le système AN / MPQ-64 Sentinel, utilisé pour alerter et signaler les engins de courte portée approchant les forces de première ligne.
Et surtout, le radar TPY-4 de Lockheed Martin qui peut fonctionner dans des environnements électromagnétiques contestés et offre une plus grande efficacité par rapport aux systèmes existants.
En 2021 déjà, Washington avait autorisé le Maroc de se doter de la dernière version du système de défense aérienne antimissile Patriot.
L’objectif des États-Unis est de soutenir le Maroc à blinder sa stratégie de défense ainsi que certains pays contre une éventuelle attaque ennemie, une menace que le Pentagone ne prend pas à la légère.
D’après des experts et des diplomates, le Hezbollah forme les terroristes du Polisario à piéger et à utiliser des drones dans des bases le long des frontières en Algérie, pour attaquer, harceler les forces armées royales marocaines et d’autres pays.