Les autorités qui tablent d’ici à 2022 sur la création de 500 000 emplois, ont décidé de rendre accessible la création d’entreprises à la bourse du plus grand nombre.
L’objectif est de faire du pays non seulement la 1ère destination des Investissements directs étrangers (IDE) en Afrique, mais également un pays de promotion de l’entrepreneuriat.
Pour relever ce défi, il a été procédé à la suppression des droits d’enregistrement et de timbre à la création d’entreprises.
Les droits d’enregistrement étaient fixés à 2% du capital social pour les apports en numéraire et 4% du capital social pour les apports en nature.
Les droits de timbre quant à eux étaient fixés à 1500 FCFA la page pour les actes sous seing privé et à 1000 FCFA pour les actes notariés.