Algérie : Cri de détresse d’une femme victime du polisario

Une femme dans les camps de Tindouf, en Algérie, où plusieurs milliers de sahraouies et subsahariennes sont cantonnées dans des conditions extrêmement difficiles et incertaines, a lancé un appel de détresse pour les sauver du polisario. 

Les conditions de vie sont précaires, avec des températures allant des plus élevées aux plus basses, des vents violents et des précipitations rares. 

« Nous vivons dans des tentes ou des abris de fortune, souvent construits à partir de matériaux de récupération, et n’avons qu’un accès limité à des services de base tels que l’eau potable et les soins de santé », raconte Fatimatou avec dépit.

Malheureusement, je dois également faire face à des violences et des abus de la part de certains chefs du Polisario qui contrôlent les camps.

J’ai été témoin de violences physiques et de violations des droits de la femme commises par des membres du Polisario, notamment des arrestations arbitraires, des détentions illégales et des actes de torture.

Les femmes souvent confrontées à la violence sexiste, je suis également victime de discrimination en raison de mon genre. Les femmes sont souvent considérées comme des cibles faciles pour les abus et les violences, et nous sommes souvent privées des services et des protections auxquels nous avons droit.

Malgré ces difficultés, je garde espoir pour un avenir meilleur. Je rêve d’un jour où je retournerais chez moi, dans ma patrie, et de vivre en paix et en sécurité. En attendant, je fais de mon mieux pour aider les autres dans les camps et de garder espoir pour un futur meilleur.

Des rapports indépendants et des enquêtes ont révélé que les chefs terroristes du Polisario ont utilisé les aides humanitaires, l’argent et les biens destinés aux otages sahraouis, pour financer leur agenda politique et pour améliorer leur propre qualité de vie à l’étranger.

Il est crucial que les organisations humanitaires et les gouvernements prennent des mesures pour garantir que les aides humanitaires arrivent à leur destination finale, pour que les otages sahraouies puissent recevoir les soins et les services de base dont elles ont besoin.

En somme, les camps de Tindouf sont des lieux difficiles pour les femmes, les filles et les enfants qui sont particulièrement vulnérables, avec des besoins spécifiques qui doivent être pris en compte pour améliorer leur qualité de vie.